9 septembre 2010
AU BORD DE L'AUTOMNE
C'est bien connu, moins on marche, plus on s'ankylose, plus on accumule les kilos. Et cela vaut aussi pour la tête. Moins on marche dans sa tête, plus on s'alourdit d'habitudes et de jugements à l'emporte-pièce.
Or, vivre a quelque chose à voir avec ce perpétuel déséquilibre que suppose la marche. Un pas en défait un autre, mais chacun a son importance, car chacun invente le chemin.
Vivre est un geste qui nous porte en avant. Il n'y a d'autre issue que de " marcher sa vie "
Je m'absente jusqu'à la fin du mois.
Ce sera l'automne quand je reviendrai
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